The Gathering

ha oui ça, la salle est magnifique...

c'est juste un tout petit peu cher au niveau boissons (2,5 €)... mais bon, tout près de la salle il y a une multitude de chouettes petits bars sympas.. donc on patiente

mais si vous avez l'occase de vous y rendre.. rien de tel pour voir un "grand" groupe dans une petite salle.......

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ma Maman m'a dit qu'je peux !!!!

limpbizkit ce soir. ben euh... oui c'est ça, mais bon pas trop non plus ... je vous raconterai demain ou ce week end, le tps que je trouve mes mots et que je fasse le bilan de la soirée, hein

Merci Luessa pour Mogwai !!!

je ne me suis pas encore relu mais j'ai pas le tps de fignoler donc voici la chronique du concert de limpbizkit jeudi dernier:

Je n’ai pas assisté à la 1ère partie, de plein gré, pour ne pas attendre dehors en T Shirt dans le froid et sous la pluie devant l’entrée du Zénith.

2NDE PARTIE: LIMPBIZKIT (10/20) durée: environ 1h45 (groupe : 15/20, public : 05/20)

2nd concert de LIMPBIZKIT, je les avais vu 3 années auparavant dans un Bercy bien rempli et l’énorme show à l’américaine (entre METALLICA pour la présence scénique et RAMMSTEIN pour le show) m’avait beaucoup plu. Ayant adoré Results May Vary, dernier CD en date de LIMPBIZKIT, c’est donc sans hésitation que j’achète ma place.
De l’entrée, on peut apercevoir la salle comble du Zénith. Mais ce n’est qu’un leurre ! Un groupe de 10 personnes s’était placé juste après le petit couloir allant vers la salle et bouchait la vue, donnant ainsi l’impression d’une salle remplie à rabord. En réalité le nombre de personnes présent à cet instant aurait très largement bien pu rentrer dans un Elysée Montmartre. On se dit que les gens ne sont pas arrivés et qu’il y aura sûrement beaucoup plus de gens qui viendront s’ajouter aux 150 déjà présentes dans la fosse. La disposition de la scène donne l’étrange impression qu’elle avait été avancée. On peut aussi remarquer les rangées de sièges aux extrémités mises dans des housses. Tout cela donne un gros arrière goût amer. Quant au public, cela allait de 15 ans (en parfait clones de Fred Durst avec leur casquette rouge) à 35 ans, avec une moyenne pondérée devant se située à 20 ans environ.
Après une petite demi heure d’attente, l’intro du dernier opus de LIMPBIZKIT se fait entendre. On entend un peu crier dans la foule, mais pas trop non plus. Rien de très motivant dans la fosse aux 2/3 vide. Le groupe enchaîne avec un My Generation arrangé à la nouvelle sauce à coups de double pédale, encore plus péchu que l’original. Rien à faire, si ça ne bouge pas maintenant, on sait d’avance que ça va être amorphe pendant tout le concert. Pourtant les 5 compères se donnent beaucoup et ont l’air motivé. Sur la chanson suivante, Break Stuff, quelques dizaines de personnes se mettent à sauter frénétiquement comme des kangourous. L’interprétation est bien arrangée avec un riff d’AC/DC, dont le nom m’échappe, bien placé. Pendant le pont de la chanson, Fred Durst monte sur les barrières séparant le public de la scène, retenu par 4 molosses qui n’ont pas l’air commode. A ce moment là, les jeunes filles de 15-16 ans ne sentent plus et se mettent à hurler et à pousser tout le monde frénétiquement dans le but de toucher Fred. Mais où on est, sérieusement ? A pop star ? Ecrasé par moments contre la barrière entre un fan muet apprenti photographe et 2 pouffiasses de service âgées de 16 ans, j’avais malgré tout une vue imprenable sur la scène (entre Sam Rivers le bassiste et Fred Durst qui d’ailleurs utilise une BOSS DD3 comme effet sur sa voix). Les titres s’enchaînent très bien, entre morceaux péchus (Head For The Barricade, Gimme The Mic), et tempos lents (Underneath The Gun) et belles chansons (Build a Bridge, Behind Blue Eyes), le groupe semble se donner beaucoup malgré un public effacé. A noter une superbe version semi acoustique de Rearranged bien mieux que la version studio présente sur Significant Other, avec une batterie plus jazzy et des riffs de guitare acoustique, la partie saturée ayant été totalement éradiquée. Les jeux de lumières sont assez travaillés mais ne constituent pas non plus une révolution dans le domaine. Les teintes étaient plutôt axées sur un bleu/vert beaucoup plus lumineux et fade qu’à l’accoutumée, et qui avait au final un bon rendu. Comparé au show de 2001, exit les explosions en tout genre, fumigènes, chalumeaux, les jolies danseuses sur Rollin’, les invectives… Ce concert avait de particulier une très bonne interaction ainsi qu’une complicité de Fred Durst avec le public. Environ une bonne dizaine de personnes est montée sur scène. Ce concert m’a donné une impression de concert privé. Même si le public était constitué de pas mal de ploucs, on s’est quand même bien marré. Il y eut plusieurs petits moments amusants comme voir Fred Durst essayer comme un préservatif un collier en plastique tombé sur la scène, mais c’est assez difficile à raconter Le groupe nous gratifie d’1h45 de concert avec plusieurs rappels. Mis à part le public pourri, mon seul regret est de ne pas avoir pu entendre à nouveau Hot Dog en live alors que le groupe jouait cette chanson sur quasiment toutes les dates européennes, en guise de dernière chanson. Donc en résumé, LIMPBIZKIT : 15/20, le PUBLIC : 05/20 et pour ce genre de concerts le public a quand même un rôle à jouer contrairement à un concert d’ELYSIAN FIELDS où plus le public est silencieux, mieux c’est.


Setlist :

Re-entry,
My Generation,
Break Stuff (ac/dc),
My Way,
Eat You Alive,
You Know You're Right,
Nevermind,
Take a Look Around,
Behind Blue Eyes,
Head For The Barricade,
Re-arranged,
Gimme The Mic,
Underneath The Gun,
Nookie,
Faith,
Almost Over,
Build a Bridge,
Rollin'

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Freak baby, freak freak baby

Crevecoeur - Sophia - 7 mars - Laiterie/Strasbourg

Grace aux DNA j'ai pus assister gratuitement aux shows de Crevecoeur et Sophia hier soir à la Laiterie.

- Crevecoeur

Formation originaire de Nancy, le groupe officie dans un style qui n'est pas sans rappeler la démarche de GY!BE. Une sorte de post rock, complétement instrumentale, mais nettement moisn sombre que les canadiens. Au contraire, de nombreux éléments kitsch sont utilisés par le groupe. Celui ci se compose d'une violoniste, d'un trompettiste, d'un guitariste/batteur et d'un clavier/guitariste/batteur.
Même si certains morceaux font un peu western spaghetti, le concert a été agréable. Notamment les partie alliant violon/trompette/guitares/et clavier atmosphérique. On notera tout de même quelques longueurs...

http://www.crevecoeur.fr.vu/

- Sophia

Puis c'est au tour de Sophia. Formé par l'ancien leader de The God Machine, le groupe oeuvre dans un pop rock efficace, mais assez convenu. On pourrait le définir à la croisée des chemins entre Coldplay, Unbelievable Truth et Smashing Pumpkins en version acoustique.
La première partie du concert sera assez linéaire, même si le groupe, et notamment sont leader, sont talentueux et occupent bien la scène. Les morceaux se ressemblent vraiment trop. Notons quand même le travail interessant de second guitariste, tout en harmonique...
Puis ca se réveillera un peu à partir de single "Oh my love" et la fin du concert sera nettement meilleure. Des morceaux plus enlevés et electriques, des titres calmes mais avec une composition plus fine et variée et surtout un magnifique second rappel avec le leader seul à la guitare acoustique.

Une bonne ambiance dans la salle, avec environs 200 personnes.

http://www.sophia-music.com/

Bref un bon moment...gratuit !!!

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http://www.chuul.net

Live report + photos de Melissa Auf der Maur à Strasbourg sur http://www.chuul.fr.st

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Quelle belle femme !

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"I know the human being and fish can coexist peacefully."— GWB, Saginaw, Mich., Sept. 29, 2000

"A trop nous prendre pour des cons, un jour nous le deviendrons"

je reviens de Explosions in the Sky, Shipping News et Migala, c'était trop trop bon ces groupes !!!!!!!

(trop fatigué pour le live report )

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ma Maman m'a dit qu'je peux !!!!

Elle avait pas sa micro-jupe? Déçu

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« Quand un jeune perd son boulot à la Fnac parce qu'il ne se vend plus de CD, on comprend bien l'importance de protéger la création » Michel Thiollière
« La culture est une marchandise comme les autres qu'il faut acheter » Joann Sfar

Eh non...helas...

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J'ai beaucoup aimé le ton humoristique de ton live report!!!




Bien, bien le live report. Ca laisse présager quelque chose de bon pour le 27 avril à l'EM!! En plus, soignées, les photos!!

Bon, et bien, hier : concert de No One is Innocent a Ris Orangis.

Ayant gagné 2 places gratuites à un concours OuiFM, dont j'apprends le résultat 24h avant le concert, je vais en Rer vers la salle, tout seul -puisque tout le monde a fait le boulet-. Bref j'arrive, j'offre une place à la premiere personne de la file d'attente, et j'ai la chance de tomber sur de bonnes personnes qui m'offrent a boire, des protections auditives, de la bonne humeur ... bref, des choses que l'on attend humainement avec le public d'un concert.
Le concert a proprement parlé maintenant, dans cette mini-salle de ris orangis "Le Plan".
Premiere partie "Disfonctionnal by Choice" qui nous joue une sorte de metal-hardcore sympa sur certains morceaux, mais avec des influences bien trop marquées sur sa musique (un morceau toolien, un morceau faith no morien ugly-in-the-morninguiesque ...etc). Bref, sympa mais sans +.
Puis arrive ... tin tin tin ... No One !
Groupe recomposé autour du chanteur originel Kemar, avec le bassiste de Oneyed Jack, le guitariste de Lycosia, et le batteur de je-sé-plus-mais-c'est-connu.
Bref, la setlist sera surtout consacrée à de nouveaux morceaux de leur album qui sortira fin Aout, qui sont tous dans un genre Fusion-Electro et suivant un schéma efficace mais simple : couplets hypnotiques, calmes, et montée en puissance lors du refrain. De belles paroles, on est habitué avec No One, de belles melodies dansantes et explosives. Sinon le set contenait quelques morceaux du premier album, et seulement 1 morceau d'UTOPIA : Nomenklatura, chanson métamorphosée, mise a la sauce No One 2004, en final grandiose.
La présence scénique est excellente, Kemar sautant dans tous les sens, bougeant partout, venant près de nous pour chanter, nous faisant participer sur certains morceaux connus, et faisant un gros slam de malade.
Les grands moments de la soirée furent l'interpretation de "la peau", le temps passe mais cette chanson est toujours aussi forte et belle. Puis un nouveau morceau tres calme, où le chanteur nous demande d'un geste de nous baisser ... la moitié droite du public l'a fait, l'autre moitié est restée debout (?) ... puis le refrain explose et tout le monde saute d'un coup, explosant complètement et se terminant dans un coin de la salle, complètement sonné. Et sinon le final sur Nomenklatura, transformée en bombe electro-metal, abandonnant sa tessiture indus orginelle, toujours aussi rassembleuse, a qui l'on a rajouté a la fin de la chanson le texte de la chanson Doggy dead chanté a l'unisson.

Ce n'etait que le 3e concert donné par le groupe, il fut intense bien qu'assez court (1h20), le public n'etait pas vraiment nombreux mais motivé (ça manquait de filles, dis donc), le pogo etait trop violent pour moi (les mecs faisaient 1m90 minimum, je me mangeais leurs bras dans la gueule, donc j'ai préféré aller au premier rang au centre ...), sinon j'aurais bien voulu entendre Chile, le poison, enfin d'autres titres d'Utopia (je ne comprends pas pourquoi ils n'en n'ont joué qu'1 ... peut etre parce que Dantec a cosigné avec Kemar la moitié des titres de l'album ? ... ce serait un mauvais argument) ... mais sinon, enorme soirée qui présage un excellent album.

Les titres que je connais et dont je me souviens (le reste étant de nouvelles chansons) :
* Genocide
* La Peau
* Henry, serial killer
* Ne reste-t-il que la guerre pour tuer le silence
* Nomenklatura + Doggy Dead

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Being good gets you stuff
Being stuff gets you good
Good stuff gets you being

merci
tu étais présent ?

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Freak baby, freak freak baby

Nan, c'est pas trop mon truc "Limp Biscuit"! Mais visiblement j'ai pas l'impression d'avoir manqué grand chose. On sort un peu amer d'un concert avec un public naze!!

Marcel agace les filles - SYD MATTERS - Mellow

Havana Café, Toulouse, le 27/04/2004

Le début du concert est prévu à 20h30, et c'est sous une pluie fine et ma foi assez génante qu'on attend l'ouverture des portes avec deux autres amis que j'ai débauché pour l'occasion, et qui ne connaissaient pas Syd Matters.
A 20h30 donc, la salle ouvre, on devait bien être, oh, 20 à entrer ? Dans la salle était disposées des tables à qqs mètres de la scène, tables où on s'est assis prendre une bière le temps que le 1er groupe arrive.

Marcel agace les filles
Un petit rock français des familles, mélange de M et Big Soul si on veut des références...un chanteur/guitariste, un bassiste (très bon soit dit en passant), et un batteur/seconde voix. Le chanteur a bien la pêche, malgré l'apathie du public (aucune personne devant la scène).

Syd Matters
Ceux que j'étais venu voir ! La salle, un peu plus remplie, amorce un mouvement vers la scène, on devait 100/150 à ce moment-là, pas plus. Dans une salle qui peut contenir un bon millier de personnes, ça fait vide !
Le concert comence sur les 1ères notes d'Automatic, une bonne mise en bouche avant la suite. Dès le 1er morceau, les amis que j'ai amené étaient conquis ! Et moi aussi bien sûr, la découverte en live en moins, pour les avoir déjà vus à Bordeaux en décembre 2003. Jonathan Morali (Monsieur Syd Matters) fait toujours autant son timide, mais ses compos sont tellement bonnes, et la performance live du groupe excellente, qu'on s'y fait !
Peu de surprise dans la setlist (très proche de ce que j'ai vu en décembre), mais toujours autant d'émotion, et un Bones joué façon Black Light District, avec son envolée instrumentale, le pied !!! Ah que c'est bon Syd Matters en live, j'adore... Une petite nouveauté néanmoins : un nouveau morceau joué en fin de concert, bien sympathique ! Un nouvel album à venir ? Croisons les doigts !

Un rappel, et ils s'en vont...snifff...déjà ? C'est le seul bémol, le set a duré une heure seulement. Mais tant qu'ils seront pas seuls en tête d'affiche, on pourra guère espérer mieux ...
Une petite touche humoristique du Syd : "Merci d'etre venus ! Nous sommes U2, avant on jouait dans des stades."

Mellow
Mellow, c'est de la mélasse. Je suis resté trois morceaux et je suis parti.

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"I know the human being and fish can coexist peacefully."— GWB, Saginaw, Mich., Sept. 29, 2000

"A trop nous prendre pour des cons, un jour nous le deviendrons"

oui, c'est clair Mais bon, qd on est collé aux barrières, on est qd même plus concentré sur ce qui se passe sur scène que ds le public

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Freak baby, freak freak baby

PHOENIX + SEBASTIEN TELLIER - 05 mai 2004, La Boule Noire, Paris

Petite chronique du concert de Phoenix et Sebastien Tellier qui a lieu mercredi à la Boule Noire. La Boule Noire, eh oui, c'est bien là qu'Anathema et Breaklose (yo Medhi) joueront dans une vingtaine de jours, càd le 28 mai. Une nouvelle salle de concerts/spectacles dans le boulevard Rochechouart qui possède déja dans ses rangs L'Elysée Montmartre, la Loco, La Cigale... De l'extérieur, La Boule Noire ça ne paye pas de mine (il y a juste une petite porte avec une marque "La Boule Noire" au stabilo? ), mais bon qui s'en soucie. La salle elle est très sympa : 10m en largeur sur 30m en longueur tout au plus, rien à voir avec donc avec l'EM, convivialité assurée...

Venons en au fait. Phoenix et Sebastien Tellier, si leur nom ne vous dit rien, peut etre avez vous vu LOST IN TRANSLATION, et apprécié la B.O.
Ah quelle musique... Ces deux artistes "frenchies" qui ont eu la chance de voir un de leurs morceaux respectifs figurer sur la B.O. de l'excellent film de Sofia Coppola, donnaient un concert à la Boule Noire le 4 et le 5 mai. Inutile de dire que vu la superficie de la salle, les deux dates ont affiché complet très vite.

Sebastien Tellier constituait la 1e partie de Phoenix. Sebastien arrive en scène, en toute simplicité, et avec beaucoup d'humour, accompagné de ses musiciens, André Nkouaga à la basse et de Rob aux claviers. Le jeune trentenaire barbu commence son show au piano par Broadway de son album Politics. Entre parenthèses, le chant est en anglais, comme pour Phoenix. Seb est un personnage qui ne se prend pas du tout au sérieux et ca fait plaisir à voir de nos jours. Ainsi lachera-t-il quelques "Oh putain..." ou "Ca va mon Dédé?" à son bassiste ou même poussera-t-il quelques vocalises surprenantes sur certains titres... Seb jouera quelques titres de son premier album "L'incroyable vérité" mais aussi et surtout du dernier album "Politics" (album engagé sur le massacre des indiens d'amérique) tels "Bye bye", "Ketchup vs Genocide" (un morceau très disco et très réussi) sur lequel André nous gratifiera d'un excellent solo de basse. On aura droit aussi à Fantino, titre figurant sur la BO de Lost in Translation, avec Seb à la guitare et Rob aux claviers. Très réussi. Sebastien Tellier terminera enfin par "La Ritournelle" excellent titre quasi instrumental au piano de 7 minutes. Une très bonne première partie à découvrir pour ceux qui n'ont pas peur du 2e degré dans la musique....

Les 6 musiciens (Un chanteur, 2 guitaristes, un bassiste, un clavieriste et un batteur) de Phoenix arrivent ensuite sur scène. Phoenix est un groupe de pop / funk style années 70, de plus en plus médiatisé malheureusement (FM). Tout n'est pas génial, mais certaines de leurs chansons sont assez intéressantes, donc je me suis laissé tenter par curiosité....

Ils commencent le set par le génial Too Young tiré du 1e album United et utilisé pour la B.O. de Lost in Translation. Phoenix enchaine ensuite avec plusieurs morceaux de son dernier album Alphabetical, tout juste sorti dans le commerce il y a 1 mois. On aura droit notamment à Everything is everything, Run run run, I'm an actor ce dernier particulièrement heavy. Le chanteur a une voix ressemblant par moments à celle du chanteur de Placebo et parfois à celle de Robie Williams (désolé pour les comparaisons). Retour au 1e album avec le touchant Honeymoon. Même si le groupe a la pêche et ca se voit, on est toutefois loin de la simplicité et du ton humoristique avec lesquels Sebastien Tellier jouait ses morceaux en 1e partie... Cependant le chanteur fait participer le public sur "Funky Squaredance" ("raise up your hands in the air"... textes de la chanson) et sur "If it's not with you" (en chantant "Together"). Le concert dure 1h30. Le 1e rappel sera le très attendu "If I ever feel better" méga tube de l'été 2003. Tout le public est en communion. Suivi par une reprise acoustique de Everything is everything. le dernier titre sera "Party time" (très heavy).

En bref, concert sympathique , même si ca casse pas des briques au niveau originalité... C'est vrai qu'on est loin de l'émotion que peut procurer un concert de The Gathering. Mais bon, un peu de musique enjouée et qui surprend, ca fait pas de mal aux oreilles de temps en temps...


Seb Tellier : 13/20
Phoenix : 13/20

Concert d'Anathema à la Boule Noire (PARIS), le 28 mai 2004

Un grand bravo à Anathema et à Breaklose qui ont bien assuré ce soir. La reprise de Lost Control par Breaklose et Danny au piano en fin de première partie était très réussie (même si le chanteur avait oublié qq passages). J'en profite pour passer un petit coucou à ceux qui étaient là ce soir : Burn, Pince, Sinid, Medhi, Liebste, Thoomis (qui s'est incrusté après Fantomas ) et tous les autres...
Par contre, dommage que le set d'anathema fut si court (1h20 contre 2h prévues initialement... )

En passant, voici quelques photos de ce soir.




Bon tant que j'ai encore 2 ou 3 neurones qui fonctionnent je vais essayer de retrouver la setlist de ce soir :

- Balance
- Closer
- Pressure
- Release
- Forgotten hopes
- Destiny is dead
- Angelica
- Empty
- One last goodbye
- Parisienne moonlight
- A natural disaster
- Judgement
- Panic
- Temporary peace
- Flying

1e rappel
********
- Shroud of false
- Fragile dreams

2e rappel
********
- Sleepless
- Wish you were here (Pink Floyd)


[/url]

argh c'est quoi cette dernière photo

Qui m'a fait ça??! QUI? J'veux des noms tout de suite là maintenant
Que leur nom soit maudit durant 7 générations...

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Fetchez la Vache!

c'est clair elle est horrible